Gilbert Pinna, le blog graphique

 Le veau passa sa tête à la fenêtre et, je l'ai vu, il louchait.

Oui, vraiment.

La vache me souriait  (cliquer)

Sous les arcades  (cliquer)

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Celles qui parlent  (cliquer)

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Voir  Giaco dans la nuit  (cliquer)

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... hop... hop... hop...

Voir  L'âme et le blouson  (cliquer)

La rouille  déposée sur les photographies est comme une sauce qui vire et, de la mer, elle reflète le bleu.

La mer ignorée  (cliquer)

Les grands matins sont ainsi faits qu'ils nous envoient la tête au ciel. 

 Sur La plage , le baigneur attardé se dit que, peut-être, il n'aurait pas dû. 

Et le baigneur dit  (cliquer)

Et du bout des lèvres, elle concéda un  " On verra ".

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Balthazar comme un fauve  (cliquer)

Voir aussi Le bruissement du vent  (cliquer)

La piscine, la saucisse et la bière  (cliquer)

Le meilleur de l'ours  (cliquer)

Résolument , l'ours étendit La grande promesse  :

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Et l'ours promit à qui voulait l'entendre, qu'à l'avenir, il serait plus coopératif.

(Cliquer sur le dessin pour le rendre plus coopératif)

La vache me souriait  (cliquer)

 La dame de cour  qui ondule, qui ondoie, et qui rappelle le mouvement tournoyant des jupes de Jeanne Moreau dans la Célestine.

Le poisson rouge  (cliquer)

La courtisane  (cliquer)

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" Et à l'heure du plus grand apaisement, dans le soir qui approche, des centaines de marsouins surgissent des eaux, caracolent un moment autour de nous, puis fuient vers l'horizon sans hommes. Eux partis, c'est le silence et l'angoisse des eaux primitives."

                                        Albert Camus, La mer au plus près (Journal de bord)

Albert Camus, les soirs rapides  (cliquer)